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Une expertise en matière d'explusions locatives

27/08/2024
4 min | VICTOIRES DU CABINET EXPULSION

UNE VICTOIRE OBTENUE PAR LE CABINET SAISI D’URGENCE SUITE A EXPULSION MANU MILITARI / ILLEGALE : UN RAPPEL DE L’IMPORTANCE DES DROITS FONDAMENTAUX ET DE LEUR APPLICATION EN MATIERE LOCATIVE

Le cabinet a obtenu de très fortes indemnisations au profit de ces clients, locataires, illégalement expulsés par leurs bailleurs. 

1) Dans la première affaire

Dans cette affaire, le client du cabinet avait fait l’objet d’une hospitalisation d’office par l’établissement hospitalier qu’il fréquentait. Pendant son hospitalisation, le bailleur de notre client décidait de pénétrer de force dans le logement. Cet acte a été suivi du changement des serrures de l’appartement et de la prise de possession (vol) de tous ces effets et biens personnels dont passeport, permis de conduire, ordinateurs, livres, vêtements, meubles, etc… 

Une atteinte incontestable aux droits les plus fondamentaux prévus par notre droit. Sorti d’hospitalisation, mon client n’avait plus de domicile, plus de biens ni effets personnels. 

Dépourvu de tout, il dormira dans la rue. 

Saisi en urgence le cabinet a :


Victoire. Le Juge des contentieux de la protection décidait favorablement en ce sens :

Parallèlement le bailleur décidait de relever appel de la décision rendue par le Juge des contentieux de la protection en référé : la Cour d’appel de Paris confirmait la décision rendue en première instance.   


2)  Dans la deuxième affaire 

Dans le cadre de la deuxième affaire, le cabinet a également été saisi d’urgence par son client, locataire sans reproches. Le locataire parti à l’étranger pour le décès d’un de ses parents, le bailleur en profitera pour pénétrer dans les lieux, réaliser des travaux (!) et changer les serrures. Il prendra également possession (vol) de tous ces effets et biens personnels dont passeport, permis de conduire, ordinateurs, livres, vêtements, et meubles.

Une atteinte incontestable aux droits les plus fondamentaux prévus par notre droit. Rentré de son séjour, mon client n’avait plus de domicile, plus de biens ni effets personnels. 

Dépourvu de tout, il dormira à l’hôtel pendant des semaines.

Saisi en urgence le cabinet a :

Parallèlement le bailleur décidait de relever appel de la décision rendue par le Juge des contentieux de la protection en référé : la Cour d’appel de Paris confirmait la décision rendue en première instance.   


Deux belles victoires et un rappel de l’importance du respect de notre cadre normatif fondamental.